1774-01-31, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Louis Claude Marin.

Je n’entends plus rien ni aux ordinaires de Made De Goesman, ni à la Sophonisbe de Mairet, ni à celle de Corneille, ni à celle de Lantin, ni à L’épine qui est de mon païs, ni aux loix de Minos, ni à tout ce qui se passe vers le Danube, ni au Roi de Prusse, ni à toutes les sottises de ce bas monde dont je fais partie.
Tout ira comme il poura. Portez vous bien, soiez gai.

Je ne sais point la demeure de La Harpe, ainsi je vous prie de vouloir bien lui envoier ce chifon, et de m’aimer toujours un peu.