1760-01-08, de Voltaire [François Marie Arouet] à François de Pougny de Guillet, baron de Monthoux.

Je vous remercie monsieur [ . . .] vos bontez et de touttes vos attentions aux quelles je suis infiniment sensible.
Dès que je pourai sortir je ne manquerai pas de venir vous voir dans votre beau chatau d'Anemas et de vous y renouveller tous mes sentiments pour vous. Bannissons les cérémonies et n'écoutons que notre cœur.

V.