[January/February 1754]
Monsieur de Malzerbe qui a l'esprit et le cœur justes, est prié de vouloir bien lire à son loisir ce qu'un homme plus vray que courtisan écrit à un philosofe.
Il se flatte que ses sentiments et sa conduitte ne déplairont pas à M. de Malzerbe dont il ambitionne l'estime, et à qui il présente ses respects.