1751-12-31, de Voltaire [François Marie Arouet] à Charlotte Sophia van Aldenburg, countess of Bentinck.

Si la femme d'un des Henris a des bontez pour moy, c'est à vous que je les dois madame.
J'espère encor que ma mauvaise santé ne me permettra pas de dîner à Montbijou, mais je voudrais bien qu'elle me permît d'aller souper à Shœnehouse puisque vous y allez. Je ne peux jamais être sûr d'un quart d'heure, je ne suis sûr que de mon tendre et respectueux dévouement pour vous, et de la simpatie qui est entre nos âmes.

V.