1860, de  Forget, Joséphine de à  Delacroix, Eugène.

[p. 1] Mon cher ami,

je vais remettre chez vous les revues que vous avez eu la bonté de me prêter : il [y] en a trois que j’avais depuis longtemps. Je désirerais bien savoir de vos nouvelles. Êtes-vous toujours à la campagne ? Et suivez-vous toujours le même régime de travail et de locomotion1 ? Quand nous reviendrez-vous ? Enfin, écrivez-moi un mot, car les détails de votre vie [p. 2] m’intéressent : quant à la mienne, elle est toujours aussi insipide et ennuyeuse.

Adieu, cher bon ami, je vous aime et vous embrasse de tout cœur.

Be de Forget