1778-02-04, de Voltaire [François Marie Arouet] à Marin Étienne Rouph de Varicourt.

Le vieux malade remercie Monsieur De Varicourt avec toute la douleur possible de quitter pour quelque temps son voisinage.
Il n'ose lui demander ses ordres, il craindrait d'être incapable de les éxécuter dans le triste état où il est. Il salue Madame et Mademoiselle De Varicourt.