[c. February 1751]
Voltaire, que sa maladie séquestre de tous les devoirs comme de tous les plaisirs, ne peut venir luy même remercier M. le baron de Marschall; il luy renvoye l'histoire de Réboulet et la vie des peintres.
Il le supplie de luy faire savoir quels livres il a encor à luy.
Il n'ose présenter ses respects à madame la baronne qu'il n'a point eu encor l'honeur de saluer, mais il trouvera bon qu'il y ait icy les plus tendres compliments pour M. de […].