[c. 20] Janvier 1776
Je suis seul, mon cher monsieur, bien malade, bien empêché, mais bien à votre service.
Mon avis serait que chacun se pourvût comme il pût pendant deux ou trois mois, & qu'on tâchât pendant cet intervalle d'obtenir une permission particulière du roi de faire venir du sel de Peccais pour notre consommation. Le refus que vous essuierez nous servira d'appui auprès de sa majesté, & cette dureté des fermiers généraux pourrait bien servir à les priver de leurs trente mille livres. Je ne désespère de rien. Mille respects.
V.