A Versailles, le 2 avril 1775
Monsieur,
M. de Voltaire me mande qu'il est dans le cas d'avoir une discution avec vous sur la vente que vous lui avés faite d'une terre voisine des siennes.
Il désireroit ardament n'avoir point de procès et que vous voulussiés bien vous en raporter à des arbitres. Marqués-moy vos intentions à cet égard, pour que je puisse en faire part à M. de Voltaire.
Je suis,
Monsieur,
Votre bien humble et affectionné serviteur,
Miromenil