Les loix de Minos ne sont pas heureuses, apparamment qu’elles étaient aussi mauvaises que les nôtres.
Je ne sais quel fripon de la comédie française a vendu à un Libraire de Paris nommé Valade, une copie informe de cette pièce dans laquelle il y a une grande quantité de vers faits sans doute par le soufleur, ou par un ouvreur de loges. Ces larcins et ces infâmies qui infectent la littérature, sont dignes de nôtre siècle.
Je fais partir aujourd’hui une boëte de la colonie pour Marseille.
Je vous embrasse de tout mon cœur mon cher ami.
V.
1er fév: 1773, à Ferney
Je recommande toutes les Lettres cy jointes à vos bontés.