1772-09-21, de Voltaire [François Marie Arouet] à Joseph Vasselier.

Je demande très humblement pardon à la belle ville de Lyon.
Je lui retiens trop longtems Le Kain, mais vous n’y perdrez rien. Nous obtiendrons des premiers gentilhommes de la chambre qu’il ne parte pas de Lyon aussitôt qu’on l’éxigeait.

Nous avons eu pour l’affaire des Pera plus de peine qu’on ne pense. Nous avons eu des fanatiques à combattre à Paris.

Je recommande à vos bons offices deux marseilloises par ce courier, avec les deux lettres cy jointes.