1er avril [1772]
Mon cher ami ce que vous me mandez de ce Monsieur de Pulligneux, ce qu’on me mande de Paris, la prochaine assemblée du clergé, et les discours de certains pharisiens, font voir évidemment qu’il faut attendre un temps plus favorable.
M. du Roncel est entièrement déterminé à retirer son mémoire quant à présent. Il vous prie très instamment de vouloir bien renvoier le manuscrit. Il rend grâces aux difficultez qu’on lui fait. Elles lui donneront le temps de rendre son ouvrage meilleur, et Rosset n’y perdra rien. Ayez la bonté de renvoier le mss par le premier courier. Je vous embrasse bien tendrement.
V.