2e Xbre 1771
Le vieux chantre des païs étrangers, fait ses tendres compliments au chantre brillant des Français.
C’est une belle époque pour la littérature qu’un simple fils d’Apollon succède à un prince du sang, et que celui qui célêbre si bien la gloire des Capets remplace un descendant de Hugue. Le vieux malade est enchanté d’avoir un tel confrère, celà seul est capable de le rajeunir; le discours de réception achêvera de lui rendre la santé.
Son t: h: o. s:
Le vieux malade de Ferney