1771-10-27, de Charles Juste de Beauvau, prince de Beauvau-Craon à Voltaire [François Marie Arouet].

Je n’ai fait, monsieur, que rendre justice à mr de Varicourt, mais je suis bien honteux de ne vous avoir pas rendu compte du plaisir que j’y trouvois à cause de vous.

Vous devés avoir reçu actuellemt une très petite somme qui m’a pourtant coûte de très grandes peines à rassembler.

Je me trouve bien heureux quand quelleque chose que ce soit me procure le plaisir de recevoir de vos nouvelles et l’ocasion de vous assurer que personne ne peut être avec un plus sincère attachemt que moi, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur

le Pce de Beauveau