Vienne ce 20 d'octobre [1]768
Monsieur,
Je prens la liberté de vous envoÿer cent Bouttailles de Tokaÿ, trop heureux si vous daigner agréer cette bagatelle; J'espère que mon autre lettre vous sera parvenuë, ainsi que celle qu'un officier Protestant m'avoit écrite; je me flatte que Vous daignerez m'acorder ceux de Vos ouvrages que j'ai osé vous demander.
Tout ce que Vous faites doit être précieux à tout Etre qui pense, mais surtout à un homme qui vous est aussi dévoué
Monsieur
que votre très humble et très obéissant serviteur
le C. J. F.