1765-03-18, de Voltaire [François Marie Arouet] à Charles Michel de Villette, marquis Du Plessis-Villette.

Les bontés de mr de Villette le séduisent trop en faveur du prétendu médecin des âmes, de qui l'âme n'est qu'une vieille malade, mais qui trouve dans celle de mr de Villette une santé fleurie.
Il prend la liberté de se mettre aux pieds de madame la comtesse d'Azi et de la remercier de ses générosités pour les Calas. Le neveu pense aussi noblement que la tante, elle est suppliée d'agréer le profond respect de V.