1er august 1764, à Ferney
Mon cher ami, s'il ne tient qu'à mon consentement, le voilà que je vous envoie.
Vous devriez engager Monseigneur l'Electeur à faire venir un livre intitulé, les Contes de Guillaume Vadé. On dit qu'il y a des choses assez plaisantes, et qu'il est beaucoup question de Fréron dans cet ouvrage. Réjouïssez vous tant que vous pourez, et aimez moi toujours un peu.