à Arpajon ce 17 Juillet 1764
Je pars dans peu de jours pour Compiegne, Monsieur, je parlerai vivement comme vous le désirés à M. le Vicechancelier et à M. le Cte de st Florentin plus pour rendre service au public en empêchant s'il est possible un écrivain de lui en imposer par des faussettés indignes répétées à chacque page que pour venger notre injure personnelle, nous la partageons avec trop bonne compagnie pour nous en chocquer: Rendés justice aux sentimens d'estime et de considération avec lesquels je suis plus que personne, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur
Le comte de Noailles