1763-01-26, de Voltaire [François Marie Arouet] à Charles Augustin Feriol, comte d'Argental.

On n'a eu la Lettre pour père et Mère qu'après avoir fermé le gros paquet, mes anges auront donc toute l'endosse; personne ne sçait icy où demeure le cousin, issu de germain des Horaces et de Cinna.
Mes anges ont du crédit, ils protègent Marie, et ils feront trouver père et mère, ils remettront entre les mains de nos anges l'extrait batistaire demandé, supposé qu'il y en ait un; s'il n'y en a point, nous nous en passerons très bien. Le sacrement du batême est peu de chose en comparaison de celui du mariage.