1760-03-10, de Jean Louis Labat, baron de Grandcour à Voltaire [François Marie Arouet].

Monsieur,

Il faut que celui qui a posé la sentinelle la relève, il faut que celui qui a eu tort en convienne, enfin, on doit tout pardonner.
Mr Delorme, homme exact, vous enverra la quitance réciproque telle qu'elle doit être. Vous faite des vers mieux que lui, mais il fait bien mieux les quitances. Il faut que je m'informe s'il ne sçait pas ce ql faut faire pour conserver ses amis, s'il le sçait il faut ql me l'aprenne, cet un reméde assuré pour conserver la santé, que je vous souhaitte.