Aux Délices, près de Genève, 23 septembre [1757]
. . . Vous donnez des loix au duc de Cumberland, vous régnez chez son père, vous désarmez tous les alliés du roi de Prusse, et vous allez lui donner des ordres comme aux autres. Lui qui ne voulait pas traiter avec vous à Dresde pour quelques soldats, lui qui méprisait tant les Français, sera probablement trop heureux de se soumettre aux conditions que vous lui prescrirez. 2 Me voici doucement occupé à le consoler et à vous féliciter. . . .
le Suisse V.