1755-08-04, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Tronchin.

Il vaudrait mieux mon cher monsieur qu'il n'y eût point d'éclat parce qu'on en abusera dans l'Europe et que la calomnie en prendra de nouvelles forces.
Mais en tout cas je vous supplie très instamment de vouloir bien faire présenter ces deux papiers, supposé que vous les trouviez convenables. Je me recommande à vos bontez.

V.