1755-08-02, de Théodore Tronchin à François Tronchin.

Il sera, cher ami, question de Voltaire, aujourd'huy en conseil, faites en sorte qu'on ne conclue rien avant que nous nous soyons parlé.
Il faut tirer ce pauvre diable d'embaras, & il me semble qu'il y a moyen de lui faire faire d'une pierre deux coups. Ce qui le sauvera ici, peut le défendre vis à vis du public. Bon jour cher ami.