. . . Quelle différence de lui [Guyot de Merville] à son confrère Voltaire qui est arrivé ici avec le train et la vanité d'un nouveau parvenu, chargé des dépouilles du tiers et du quart! Il attend le passage du duc de Richelieu qui doit ménager son retour à Paris: il est dans un état de maigreur à faire peur. Je ne finirais point si je vous détaillais tous les discours et toutes les petitesses de nos provinciaux à son égard. Pour moi, à qui tout le clinquant du monde n'en saurait imposer je me renferme dans le silence. . . .
1754-11-26, de Francois Louis Cizeron-Rival à [unknown].