1754-03-19, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Louis Defresnay.

On m'a dit, Monsieur, que vous demandiez les imprimés ci-joints.
J'ai l'honneur de vous les envoïer avec des copies d'une lettre que j'ai reçue de Strasbourg. Je vous supplie de vouloir bien communiquer un éxemplaire de l'un et de l'autre, à Mr Schœpflin. Je vous serai très-obligé. Mille tendres respects à Madame vôtre mère.

Je vous embrasse de tout mon cœur. Quel vilain temps.

V.