[December 1752]
Je vous remercie madame avec transport de touttes vos bontez.
Et une remise encor! et sur le champ! Plût à dieu que cette remise fût à Kniphausen! Ne me demandez pas du tabac madame. Je n'ay icy que les poisons dont la calomnie me nourit. Je suis très malade. Je ne peux écrire. Ayez la bonté de me garder ce petit paquet jusqu'à mon retour. J'espère être en état dans peu de jours de vous entretenir. Je ne me console point du promt départ de M. le prince Louis.
Mille tendres respects.
V.