[1751/1752]
Si mon cœur décidait de ma conduitte je partirais sur le champ madame pour venir vous remercier de touttes vos bontez.
Je vais avoir un soin extrême de ma santé pour être en état de venir passer deux jours à Berlin. Je n'y viendray certainement que pour vous seule. Je n'ay d'autre chagrin dans ma vie que d'être si longtemps sans vous faire ma cour. Mais ce chagrin est violent et je veux y mettre ordre. Je suis à vos pieds avec la reconnaissance la plus tendre et L'attachement le plus respectueux.
V.
mercredy