1752-03-18, de Voltaire [François Marie Arouet] à — Le Baillif.

Mon cher camarade, j'arrive uniquement pour vous voir, pour recevoir les ordres de madame de Tirconell, pour l'assurer de mon éternel attachement.
J'ay à vous parler, je vous prie de me faire dire à quelle heure je pouray entrer.

V.