1751-03-09, de Voltaire [François Marie Arouet] à Charlotte Sophia van Aldenburg, countess of Bentinck.

Je reçois donc votre sainte bénédiction.
J'espère qu'elle me portera bonheur dans le petit paradis terrestre où je vais, et où je me tiendrais damné si vous n'aviez pas pour moy des bontez toujours égales. C'est cette égalité qui met le comble à votre mérite. C'est la première vertu de la société etc. etc. etc. La belle chose que cette égalité d'humeur!