5 avril 1747
Mon cher et ancien amy, je vous ay manqué à Paris, et je retourne à Versailles, vous ne me voyez jamais que comme une ombre fugitive, par levibus ventis volucri que simillima somno.
Mais comptez que l'absense, les maladies, les voiages ne prennent rien sur mon cœur. Je ne suis pas aussi heureux que si je vous voiois tous les jours, mais je vous aime autant.
Bon jour et adieu mon cher amy.
V.
mercredy