1745-10-15, de Voltaire [François Marie Arouet] à Marie Louise Denis.

Ma chère enfant, il faut s'il vous plaît, et si vous m'aimez un peu que notre différent au sujet des diamans se partage par la moitié; vous m'avez promis les vôtres avant de les donner à madame des Forges.
Qu'elle prenne ceux de me Defontaine mais qu'elle me laisse ceux que vous m'avez promis. Cela est trop juste, et je vous demande avec la plus grande instance de les demander tout à l'heure à madame des Forges, faites de cette affaire là, une affaire capitale. Je vous en conjure montrez ma lettre à madame des Forges et dites luy que si je suis refusé je seray désespéré.

V.