ce 12 avril 1745
Je suis si vain mon charmant amy, que je veux que votre ouvrage soit parfait.
Pardonnez à cet excez d'amour propre et à celuy de ma tendre amitié pour vous, si quosdam egregio reprehendo in corpore nævos. Soyez le juge de ma petite critique. Il me semble qu'en un quart d'heure vous pouvez donner la dernière main à ce petit ouvrage excellent en son genre et qui éternisera l'amitié qui fait mon bonheur.
V.