1743-03-16, de Voltaire [François Marie Arouet] à Nicolas Claude Thieriot.

Voici la lettre en question.

Je viens de lui en écrire une un peu pressante sur votre comte. Nous verrons s'il répondra à cet article, et si cette nouvelle semonce sera encore brûlée.

Je vous supplie de dire à Mécénas de Rothelin que je travaille jour et nuit à mériter son suffrage.