1732-07-15, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Augustin Paradis de Moncrif.

Monsieur Rouillé a dû vous envoier mon cher amy, une certaine Zaire.
Je vous suplie d'en dire au plus vite votre sentiment. Ayez la bonté de bien assurer S. a. S. que si je ne soufrois pas comme un damné presque tous les matins, je serois à son levé. Adieu, venez donc souper chez nous aimable Montcrif.

V.