1722-10-27, de Voltaire [François Marie Arouet] à Nicolas Claude Thieriot.

Chemin faisant mon cher ami je vous remercie de vos soins, de vos réflexions et surtout de votre tendre amitié.
Je serai samedi à Paris. Je me flatte de souper avec vous. Souvenez vous je vous en prie que je vous prié de vous informer si on étoit à st Firmin. Si Gaudin m'achette un cheval, j'ai une selle. J'ai peur d'arriver avec une selle sans trouver de cheval. Je ferai comme Chapelle qui prenoit des bottes pour aller par le coche.