1717-05-17, de Voltaire [François Marie Arouet] à Maximilien Henri de Béthune, duc de Sully.

Monseigneur,

Monsieur de basun, lieutenant de robbe courte, m'est venu arrêter ce matin.
Je ne puis vous en dire d'avantage, je ne sçai de quoy il est question. Mon innocence m'assure de votre protection. Je serai trop heureux si vous me faittes l'honeur de me l'accorder.