de  Forget, Joséphine de à  Delacroix, Eugène.

Je vous renvoie votre dernière revue, mon ami, je ne puis aller vous faire mes adieux aujourd’hui, mais peut-être ne partez-vous pas demain pour la campagne ?

Les temps est bien froid, et quand vous serez bien établi à la campagne, venez quelquefois à Paris, et dînez avec moi, j’en serai bien heureuse !

Je vais aujourd’hui dîner sur le quai…

Je vous aime et vous embrasse de cœur, mon cher ami.

J. de Forget

Ma cousine est partie et je me trouve bien seule1 !