Ce vendredi matin.
Je vous renvoie votre dernière revue, mon ami, je ne puis aller vous faire mes adieux aujourd’hui, mais peut-être ne partez-vous pas demain pour la campagne ?
Les temps est bien froid, et quand vous serez bien établi à la campagne, venez quelquefois à Paris, et dînez avec moi, j’en serai bien heureuse !
Je vais aujourd’hui dîner sur le quai…
Je vous aime et vous embrasse de cœur, mon cher ami.
J. de Forget
Ma cousine est partie et je me trouve bien seule1 !