2e juillet 1777
Je n'ai, Monsieur, qu'à vous remercier, et à attendre cette fin du mois d'auguste.
Si je suis encor en vie dans ce temps là, j'aprendrai de vous comment on pense à Paris, et surtout comment on doit penser; car en vérité je n'en sçais rien.
Permettez moi de glisser dans ma lettre un petit billet pour vôtre ami Mr le Marquis de Condorcet. Mon âme et mon corps sont dans un état bien triste. On dit que c'est ce qui arrive à la pluspart des gens de mon âge. Vous ferez ma consolation.