de Stoutgart le 26 9bre 1776
Monsieur,
Pour répondre à votre lettre obligeante du 22 du courrant, je ne puis que me raporter au contenu de ma précédente du 17 de ce mois.
J'y ajoute ma parole Monsieur, que Vous serés contenté l'année prochaine, car l'ordre, que je saurai mettre dans les finances de ma Principauté de Montbéliard sera des plus solides, et Vous ôtera d'orénavant tout sujet de plainte à l'égard de Vos payemens.
Je suis avec les sentimens les plus distingués,
Monsieur,
Votre très humble et obéissant serviteur
Le Duc de Wurttemberg