1776-07-31, de Voltaire [François Marie Arouet] à Augustin de Candolle.

Monsieur,

Toute la famille de cet infortuné qui s'est noié à Genthod doit ressentir vos bontés, et je les partage.
On est heureux de vivre sous les loix de Genêve, et même d'y mourir. Il y a, dit-on, des païs où la vie et la mort se vendent trop cher.

J'ai l'honneur d'être avec tous les sentiments que je vous dois

Monsieur

Vôtre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire