1774-04-27, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Louis Claude Marin.

Je vous ai adressé, mon cher ami, plusieurs paquets pour quelques uns de nos académiciens, mais il y en avait principalement pour vous, comme de raison.
Je n’ai entendu parler ni de vous, ni de personne. Il faut qu’il soit arrivé malheur. Etes vous malade? êtes vous à Paris, ou en Provence, ou à Lampedouze? Quelque part que vous soiez je vous aimerai toujours.

V.