1773-08-31, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Tronchin.

Le vieux malade de Ferney n’est pas infiniment éxact.
Il est l’avocat des causes perdues. Occupé jour et nuit des Lalli et des Morangiès, il n’a pas répondu à Monsieur Tronchin, mais il ne l’a pas oublié. Il lui est tendrement attaché ainsi qu’à toute sa famille avec les sentiments les plus inviolables.