à Ferney 16e auguste 1773
Si le vieux malade de Ferney pouvait avoir un raion de santé, il ne répondrait pas aux vers flatteurs de Monsieur Souflot en simple prose.
S’il pouvait sortir il irait aux Délices rendre ses devoirs à Monsieur et à Madame Tronchin, et à Monsieur Souflot. S’il s’avisait jamais de vivre l’âge de Mr Jean Causeur, il prierait alors Monsieur Souflot ou Monsieur Tronchin de vouloir bien faire son épitaphe.
Il présente ses très humbles obéissances à toute la maison.