1772-11-21, de Voltaire [François Marie Arouet] à Joseph Vasselier.

Je suis forcé, Mon cher ami, de vous envoier cette boëte en vôtre propre et privé nom pour Vienne en Dauphiné.
Si celà vous gêne renvoiez la moi. Mes pauvres horlogers se tireront d’affaire comme ils pouront.

Quand vous aurez des nouvelles des siflets avec lesquels on attend les loix de Minos, je vous prie de m’en envoier un par la poste.