1773-05-14, de Voltaire [François Marie Arouet] à Joseph Vasselier.

Aufresne est icy, mon cher ami, j’aimerais mieux qu’il fût à Lyon, et qu’il y jouât les loix de Minos.
Mais il compte rester un an à Genêve dans le sein de sa famille, et se reposer sur ses lauriers.

Ma santé est toujours bien déplorable. Vôtre amitié est ma consolation.

J’envoie aujourd’hui une grosse boëte à Mr Brun à Marseilles.

Le vieux malade vous embrasse de tout son cœur.