1771-07-15, de Marie Anne Françoise Mouchard, comtesse de Beauharnais à Voltaire [François Marie Arouet].

. . . L’espoir que vous me donnez pour l’Académie me transporte de joie, je m’intéresse trop à la gloire de m. Dorat pour ne lui pas souhaiter votre suffrage; c’est tout à mes yeux comme aux siens. La voix du public n’est rien en comparaison de la vôtre. . . .