1770-03-07, de Voltaire [François Marie Arouet] à François de Caire.

Le malade remercie bien vivement Monsieur De Caire de toutes ses bontés.

Il pense qu'on veut prendre des mesures justes à la cour pour n'être pas obligé d'en changer, que c'est une affaire à traitter dans le conseil, qu'il y a tout à espérer pour un heureux succez, qu'il est de l'intérêt du roi d'acquérir de nouveaux sujets, et de la gloire de Mr Le Duc de Choiseul d'achever son ouvrage.

On a envoié aujourd'hui un mémoire assez pressant.

Mille respects à Monsieur et à Madame De Caire.