1769-10-18, de Voltaire [François Marie Arouet] à Joseph Vasselier.

Il n'est pas juste, Monsieur, qu'on ne vous rende pas ce que vous avez donné à Mr Tabareau.
Je vous suis très obligé pour les Guebres; mais je suis fâché qu'on se soit adressé à Mr L'archevêque de Lyon. Il valait mieux je crois ne rien tenter du tout que de hazarder une pareille tentative. Le mal d'ailleurs est très médiocre. Réjouïssez vous avec moi que les Turcs ennemis des Guêbres et des chrétiens aient été bien battus.

Je vous embrasse de tout mon cœur.