10 xbre 1767
Une maladie assez violente, mon cher monsieur, ne m'a pas permis de répondre plus tôt à vos bontés, et à celles de m. le mis de Marnésia. Je crois qu'il est très aisé de trouver des protections auprès de m. de Calonne à qui on a donné depuis peu la place de premier président du parlement de Douai. Je ne le connais pas, mais j'ai un ami qui le connaît, et à qui j'ai écrit. Vous m'avez bien vivement intéressé pour cet honnête homme persécuté par des coquins. Je me flatte que vous voudrez bien m'instruire du succès de son affaire.
Comptez sur les sentiments &c.