21 septembre 1767
Le malade demande comment se porte le malade.Il le supplie de faire coller sur la pièce cette dernière leçon, qui est la meilleure. Il demande à Merlin exactitude et diligence. Le Huron du sr Laurent est défendu à Paris; mais on espère que la comtesse de Givri aura permission de paraître.
Dernière leçon du commencement de la dernière scène du troisième acte
MADAME AUBONNE
J'ai mérité la mort . . . .LA COMTESSE
C'est assez, levez vous.Je dois tout pardonner, puisque je suis heureuse:Tu m'as rendu mon sang.CHARLOT (dans l'enfoncement)
O destinée affreuse!Où me conduisez vous?LA COMTESSE (courant à lui)
Dans mes bras, mon cher fils.CHARLOT
Vous, ma mère!LE DUC
Oui, sans doute.JULIE
O destins inouïs!LA COMTESSE (l'embrassant)
Oui, reconnais ta mère; oui, c'est toi que j'embrasse,